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Maison secondaire : un rêve accessible

Selon une étude réalisée par les notaires de Bretagne, les prix des maisons de vacances seraient en chute libre. De quoi ravir les investisseurs qui pensaient ne jamais pouvoir accéder à ce luxe.

Publié le 7 mai 2014


Rédigé par Lucas David


Lecture de 1 min.

Ce sont plus d’une centaine de localités qui ont été analysées un peu partout en France. Deauville, Saint Jean de luz, Saint Martin de Ré, Cap-Ferret, ou encore Biarritz restent des spots très prisés et ne sont pas épargnés par la baisse des prix.

Partout, la tendance à la baisse annoncée il y a 5 ans se poursuit. Sur 100 villes étudiées, 60 ont connu une baisse des prix des maisons secondaires. Pour 25 villes, la chute est phénoménale : – 15% en 2013. Sur ces cinq dernières années, une station sur quatre a subi un repli supérieur à 20%.

La décrue ne touche pas que les maisons. Les appartements sont aussi touchés. Depuis 2009, sur la façade ouest, seules 18 villes affichent encore des tarifs à la hausse.

Les investisseurs sur le littoral sont principalement des personnes âgées qui misent sur une transformation de la maison secondaire en maison principale pour passer leurs vieux jours. Les étrangers eux sont aux abonnés absents. Alors que les Anglais ont déserté, aujourd’hui la plupart des acheteurs en Basse Normandie sont des Parisiens.

Lucas David

Rédacteur spécialisé sur la Loi Censi Bouvard

Spécialiste dans les dispositifs de défiscalisation, j'ai rédigé pendant plus de 10 ans les actualités d'un site spécialisé dans la gestion de patrimoine.

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